Journal de Rose

Le mardi 16 janvier,
Chère journal,

L'animalerie sait vraiment l'enfer, pourquoi tu vas me demander et bien je vais te le dire. Le vendeur est très méchant avec nous on est vraiment sous alimenté. On n'a une ration de croquette trois fois par semaine et toujours en très petite quantité si bien que même quand on a finit de manger on n'a encore faim. Il ne faut pas se plaindre chère journal sinon on reçoit une gifle qui nous laisse une énorme trace rouge sur la joue. En ce moment je ne dort plus beaucoup j'ai vraiment peur de mourir d'une seringue la nuit. Le vendeur nous menasse, il dit qu'on lui coute trop chère et si on ne fait pas tous pour être acheter il nous punit très sévèrement. Comme le coup où quelqu'un sait arrêter devant la cache d'une hybride et c'est mise à la tripoter. L'hybride a griffer la main de l'humain se qui lui a fait valoir la seringue. J'ai peur, chère journal, si dans quelque jours je n'ai toujours pas trouvé acheteur, j'ai peur que la seringue ne soit pour moi.

Au revoir,

Rose

P.S.: Si demain je ne t'écris pas sait que je serais sans doute morte, pris pour moi mon chère journal.

Le mercredi 17 janvier,
Chère journal,

C'est vraiment l'enfer ici, je ne veut peut avoir à faire une seule journée ici. Tu sais que je n'aime pas être soumise mais là c'est décidé je ferais tous et n'importe quoi pour sortir de là. Manque de peau il pleut dehors et sa va mettre le patron de mauvaise humeur toute la journée. J'ai beaucoup prié cette nuit et j'espère que c'est aujourd'hui mon jours de chance. Je n'ai plus là force de continuer si un acheteur ne sait pas pointé avant ce soir pour m'acheter je demande la mort. Trop de douleur je souffre. J'ai froid, j'ai faim, je n'ai plus que la peau sur les os je suis squelettique. Mes genoux contre le bitume rigide me font extrêmement mal. Je ne peux pas bouger. Je sans l'urine, un jour de plus dans cette enfer est pour moi impossible chère journal. Que dieu me vienne en aide.

Au revoir,

Rose.

P.S.: Je te dirais ce soir si oui ou non je vivrais encore demain.